Les prestations complémentaires de chômage sont des prestations imposées destinées à compléter l'indemnisation du chômage par l'État pour les salariés licenciés. Les prestations de cette nature sont souvent incluses dans les conventions collectives.
Lorsque le chômage résulte d'une formation, d'une maladie ou d'un accident, d'une mise à pied de courte durée, etc.
Même s'ils sont liés, ils ne sont pas identiques. Lorsqu'un salarié fait l'objet d'une réduction d'effectifs ou d'un licenciement, l'État lui offre une indemnité de chômage. Le chômage complémentaire a pour but d'offrir un revenu supplémentaire non imposable et est lié aux prestations de l'État.
L'objectif de la PSC est d'augmenter le salaire de la personne sans emploi à un niveau comparable à celui de son emploi antérieur. Les PSC comblent le manque à gagner en donnant aux travailleurs un salaire hebdomadaire comparable, car les allocations de chômage de l'État ne représentent pas souvent un salaire décent.
L'indemnité de licenciement peut être accordée sous la forme d'une somme forfaitaire ou d'une série de paiements hebdomadaires. Ce salaire est soumis à l'impôt FICA et à d'autres taxes. Le complément de salaire hebdomadaire, ou SUB pay, est exonéré d'impôt et moins coûteux à adopter pour les entreprises puisqu'elles évitent de payer ces impôts.
Les PSC ont été bien connues dans les années 1950 comme un mécanisme permettant aux travailleurs des secteurs où l'emploi est cyclique de bénéficier d'un revenu plus stable. Dans les conventions collectives, les PSC étaient souvent défendues.
Dans tous les secteurs d'activité, elles sont de plus en plus populaires. Les salariés licenciés dans le cadre d'un régime de PSC conservent leur ancien revenu tout en percevant des allocations de chômage supplémentaires de la part de leur ancien employeur en cas de réduction de la force de travail (RIF) ou de chômage temporaire dû à une formation, à une maladie ou à un accident.
Ces régimes peuvent offrir une "prime de réemploi" correspondant à un pourcentage spécifique des prestations restantes à un salarié qui réintègre le marché du travail. En outre, les régimes de PSC offrent une aide financière aux salariés qui doivent travailler moins d'heures à la suite d'un licenciement.
Les programmes de PSC sont étalés dans le temps et ne sont pas mis en œuvre en une seule fois. Les employés doivent être exclus du bénéfice des allocations de chômage de l'État pour pouvoir en bénéficier (il existe des exceptions, il peut donc être nécessaire de consulter un avocat spécialisé dans les questions d'emploi). Cela signifie que les régimes peuvent varier en fonction de l'État dans lequel la personne travaille (en termes de spécificités et de qualité).
Pour les employeurs, le principal avantage est qu'ils n'ont pas à subir les désagréments d'une indemnité de départ forfaitaire. Cela sera particulièrement utile si votre entreprise vient de subir une réduction d'effectifs difficile et qu'elle ne dispose que de peu ou pas de liquidités. Autre bonne nouvelle pour les entreprises participantes : l'IRS classe les programmes de PSC dans la catégorie des avantages sociaux plutôt que dans celle des salaires, ce qui réduit les obligations en matière d'impôt sur les salaires. Cela permet d'éviter les taxes de la Federal Insurance Contributions Act (FICA), les dépenses de la Federal Unemployment Tax Act (FUTA) et les taxes de l'État sur le chômage.
Les anciens salariés doivent avoir droit aux allocations de chômage de l'État et participer volontairement au régime de PSC de leur employeur afin d'obtenir une indemnisation au titre des PSC. En outre, ils doivent déposer une demande auprès du bureau d'assurance chômage de l'État dans lequel ils travaillaient auparavant (les règles en matière de PSC peuvent varier selon l'État dans lequel vous vous trouvez).
En période de ralentissement économique, il est essentiel de réduire les effectifs, mais les indemnités de départ classiques sont coûteuses pour la trésorerie de l'entreprise et sont assujetties aux charges sociales. Les régimes de prestations supplémentaires de chômage (RPSC), un choix fiscalement avantageux, permettent d'étaler les dépenses tout en offrant la même valeur à l'employé.